Le ver de terre regarde les étoiles, symboles d’un ailleurs tant rêvé qu’il ne peut atteindre.
Ses espoirs disparaissent à chaque regard tandis que la réalité l’oppresse et constitue son châtiment. Tout comme ce ver, je contemple l’étoile que j’aime. Son sourire, la courbe de ses yeux sont des magiciens qui changent la boue du quotidien en or.
La poésie si douce soit-elle ne peut esquisser ton beau portrait car jamais les mots humains ne pourront décrire le sublime dont tu es la parfaite représentante.
Devant toi, je ne peux que m incliner et vénérer ton existence.
Sa beauté et sa gentillesse l’élèvent au rang de déesse, je n’ai que mon amour et ma vie à t’offrir, ce sont de bien modestes présents pour une femme divine.
Le ver poursuit son doux rêve, il souhaite que son amour se change en papillon pour se poser sur la douce épaule de sa bien aimée en espérant que son amour et son soutien obtiendront le bien le plus précieux : ton sourire.
Mon amour pour toi est humain, je souhaiterais tant qu’il soit un phœnix pour te dire éternellement ces mots bien humains : je t’aime.